Текст песни Mano Solo - Botzaris
0 чел. считают текст песни верным
0 чел. считают текст песни неверным
Les Botzaris c'est sous la Lune Les Buttes Chaumont dans la brume Je longe les rendez-vous Ils seront là, ils seront tous fous Les amoureux d'aujourd'hui Savent qu'il reste des bancs dans Paris Demain, le Soleil d'hiver Caressera les bouquets fébriles. De l'espoir plein la gibecière Ils iront tranquilles Les pigeons perdront leurs plumes Avec elles nous écrirons L'histoire des coeurs du bitume Qui dans les squares nous survivront C'est sans fin que l'amour citadin S'allonge sur du bois vert C'est depuis toujours qu'y habitent l'amour Et ses discours On pourrait croire qu'assassin, le temps nous casse On pourrait croire que le destin, fatalement, se trace Quitte un jour, ou abandonner son tour A deux paires d'yeux, deux peaux de pêche Eclats de rire de la jeunesse Mais ce matin il n'en est rien Je t'ai vue de loin Ton journal à la main La nuit d'hier, d'aujourd'hui, de demain Tu portes, fière, l'image De ta promesse, mais sans l'savoir C'est à moi qu'elle s'adresse Oh, tant qu'il y aura des bancs, reste un pays de sentiments... Смотрите также:
Все тексты Mano Solo >>> |
|
The Botsaris is under the Moon
Buttes Chaumont in the mist
I along appointments
They will be there , they will be all crazy
Today lovers
Know that there are still schools in Paris
Tomorrow, Winter sun
Caress febrile bouquets.
The satchel full of hope
They go quiet
Pigeons lose their feathers
With them we will write
History hearts bitumen
Who we survive in squares
It's endless love that city
Lies on green wood
What is always live love
And speeches
One might think assassin , the time we break
One might think that fate , inevitably, is plotted
Leaves a day or abandon turn
Two pairs of eyes , two skins of fishing
Laughter Youth
But this morning there is nothing
I saw you from afar
Your newspaper in hand
The night of yesterday, today , tomorrow
You doors, proud image
Your promise , but without knowing
It is for me it is addressed
Oh, so there will be benches, remains a country of feelings ...